Dashimaki Tamago Authentique – Omelette roulée japonaise (Tamagoyaki) en 10 minutes
Table des matières
Qu’est-ce que le dashimaki tamago ?
Aujourd’hui, nous allons découvrir la recette du dashimaki tamago, une variante savoureuse de l’omelette japonaise roulée (tamagoyaki).
Contrairement au tamagoyaki classique, qui est légèrement sucré grâce à l’ajout de sucre et de mirin, le dashimaki tamago se distingue par l’incorporation de dashi, un bouillon japonais riche en umami.
Ce bouillon confère à l’omelette une texture plus moelleuse et une saveur plus complexe.
Préparée avec des œufs battus, du mirin, de la sauce soja et une généreuse quantité de dashi, cette version salée de l’omelette japonaise est cuite en fines couches successives dans une poêle rectangulaire spéciale, puis roulée pour former un rouleau d’omelette délicat et savoureux.
Le dashimaki tamago est une véritable démonstration de la finesse culinaire japonaise, alliant simplicité des ingrédients et complexité des saveurs.
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Qu’est-ce que le tamagoyaki ?
Le tamagoyaki est une omelette japonaise sucrée-salée, préparée en superposant et en roulant plusieurs couches d’œufs battus.
Traditionnellement, cette omelette est cuite dans une poêle rectangulaire appelée makiyakinabe, ce qui permet de lui donner sa forme caractéristique. Les œufs sont assaisonnés avec de la sauce soja, du mirin (un vin de riz sucré), et parfois du dashi (un bouillon de poisson) comme dans la recette d’aujourd’hui, ce qui donne à l’omelette une saveur délicate et légèrement sucrée.
Pendant la cuisson, chaque fine couche d’œuf est roulée sur elle-même à l’aide de longues baguettes, créant ainsi un rouleau d’omelette que l’on découpe ensuite en tranches pour la présentation. Le tamagoyaki est souvent servi au petit-déjeuner, dans les bento (boîtes-repas japonaises), ou comme garniture pour les sushis.
Il existe plusieurs variantes de cette omelette, notamment le dashimaki tamago, qui inclut du dashi pour une texture plus moelleuse et une saveur umami prononcée.
Note importante pour réussir votre tamagoyaki
Pour vous éviter cette erreur de débutant, notez bien que la clé d’un tamagoyaki parfait réside dans la constance de son roulage.
Plus précisément, choisissez un point de départ fixe (que ce soit le haut ou le bas de la poêle) et maintenez cette position tout au long de la préparation. Cette technique assure l’uniformité des couches, essentielle à l’aspect visuel et à la texture caractéristique du plat. On ne démarre jamais d’un côté pour revenir de l’autre.
Après avoir roulé chaque couche, huilez légèrement la poêle et repositionnez délicatement le rouleau à son point d’origine en le faisant glisser.
Cette méthode garantit l’alignement précis de chaque nouvelle couche avec les précédentes, créant ainsi la structure distinctive du tamagoyaki.
La cohérence dans le sens du roulage est primordiale. Si vous commencez par le bas de la poêle, continuez dans cette direction pour toutes les couches suivantes.
Cette approche méthodique est la clé pour obtenir un tamagoyaki authentique, tant dans son apparence que dans sa dégustation.
Quelle est l’origine historique du dashimaki tamago ?
L’origine précise du dashimaki tamago est difficile à dater avec exactitude, mais cette variante de l’omelette japonaise s’inscrit dans l’évolution culinaire du Japon au cours du XXe siècle.
Le tamagoyaki, dont le dashimaki tamago est une déclinaison, a gagné en popularité dans les années 1950, lorsque le gouvernement japonais a encouragé une consommation accrue de protéines pour améliorer la santé de la population après la Seconde Guerre mondiale.
L’ajout de dashi, le bouillon traditionnel japonais, à l’omelette roulée est probablement né du désir d’enrichir la saveur et la texture du plat, tout en incorporant un élément fondamental de la cuisine japonaise. Cette innovation culinaire reflète la créativité des chefs japonais qui cherchaient à combiner des ingrédients traditionnels de manière nouvelle.
Le dashimaki tamago est ainsi devenu un exemple parfait de la cuisine japonaise moderne, alliant la simplicité des ingrédients à une technique de préparation raffinée, pour créer un plat à la fois nourrissant et délicieux, apprécié dans les foyers comme dans les restaurants.
Qu’est-ce que le dashi ?
Le dashi est l’âme de la cuisine japonaise, un bouillon fondamental qui apporte profondeur et complexité à de nombreux plats.
Ce bouillon clair et savoureux est principalement composé de deux ingrédients : le kombu, une algue séchée riche en glutamates naturels, et les flocons de bonite séchée, appelés katsuobushi.
Le processus d’élaboration du dashi est simple mais précis : le kombu est d’abord infusé dans de l’eau froide, puis chauffé jusqu’à frémissement avant d’être retiré.
Les flocons de bonite sont ensuite ajoutés et rapidement filtrés, ne laissant qu’un bouillon limpide aux saveurs marines subtiles. Ce bouillon est la quintessence de l’umami, la cinquième saveur reconnue par nos papilles, et sert de base à de nombreuses préparations japonaises telles que la soupe miso, les sauces, et bien sûr, le dashimaki tamago.
Il existe également des variations végétariennes du dashi, utilisant uniquement du kombu ou y ajoutant des champignons shiitake séchés, démontrant ainsi la versatilité de ce pilier de la gastronomie nippone.
Cliquez-ici pour la recette du dashi traditionnel
Quelles sont les autres variations de tamagoyaki ?
Le tamagoyaki, se décline en plusieurs variantes savoureuses, chacune reflétant les préférences régionales et les innovations culinaires. Outre le tamagoyaki classique et le dashimaki tamago, on trouve l’atsuyaki tamago, une version plus épaisse et sucrée particulièrement appréciée dans la région de Tokyo.
L’Edomae-style tamago, quant à lui, est une variante spongieuse servie dans les restaurants de sushi haut de gamme, offrant une texture aérienne unique.
Certains chefs créatifs y incorporent des ingrédients supplémentaires tels que du nori (algue séchée), des crevettes hachées, ou même du fromage, créant ainsi des fusions modernes tout en respectant la technique traditionnelle.
Dans la région d’Osaka, on peut déguster le negitamagoyaki, qui intègre de la ciboule finement ciselée pour une touche de fraîcheur. Il existe également des versions plus légères, préparées avec des blancs d’œufs pour les amateurs de cuisine diététique.
Chaque variation du tamagoyaki témoigne de la richesse et de la diversité de la cuisine japonaise, tout en conservant l’essence de ce plat bien-aimé : des couches d’œufs délicatement roulées, offrant un équilibre parfait entre texture et saveur.
Tamagoyaki classique
Le tamagoyaki classique, pilier de la cuisine japonaise, est une omelette roulée qui incarne l’élégance et la simplicité de la gastronomie nippone.
Cette préparation traditionnelle se compose d’œufs battus, assaisonnés avec un mélange subtil de sauce soja, de mirin (vin de riz doux), et parfois d’un soupçon de sucre pour équilibrer les saveurs. La magie du tamagoyaki réside dans sa technique de cuisson unique : les œufs sont versés en fines couches successives dans une poêle rectangulaire spéciale appelée makiyakinabe.
Chaque couche est délicatement roulée sur elle-même à l’aide de baguettes, créant ainsi un rouleau d’omelette aux multiples strates. Le résultat est une omelette dense mais aérienne, présentant une belle couleur dorée et une texture moelleuse.
Servi chaud ou froid, le tamagoyaki classique est apprécié au petit-déjeuner, comme composante essentielle des bento (boîtes-repas), ou en accompagnement dans les repas traditionnels. Sa polyvalence et son goût raffiné en font un favori intemporel de la cuisine japonaise, apprécié par toutes les générations.
Cliquez ici pour voir la recette de Tamagoyaki classique
Atsuyaki tamago
L’atsuyaki tamago au dashi sucré est une variante raffinée et gourmande du tamagoyaki classique, particulièrement appréciée dans la région de Tokyo.
Cette version se distingue par sa texture plus épaisse et moelleuse, ainsi que par son goût subtilement sucré. La préparation commence par un mélange d’œufs battus auquel on ajoute du dashi, le bouillon traditionnel japonais, enrichi d’une touche de sucre.
Cette combinaison unique confère à l’omelette une saveur umami prononcée, équilibrée par une douceur délicate. L’atsuyaki tamago est cuit dans une poêle rectangulaire spéciale, mais contrairement au tamagoyaki classique, il est préparé en une seule épaisse couche, ce qui lui donne sa texture caractéristique, à la fois ferme et fondante.
Une fois cuit, il est souvent présenté en tranches épaisses, révélant un intérieur doré et onctueux. Cette spécialité est particulièrement prisée dans les restaurants de sushi haut de gamme, où elle est servie comme nigiri ou comme plat d’accompagnement.
L’atsuyaki tamago au dashi sucré incarne parfaitement l’art culinaire japonais, alliant simplicité des ingrédients et complexité des saveurs dans un plat à la fois réconfortant et sophistiqué.
Cliquez ici pour la recette d’Atsuyaki tamago
Edomae-style tamago (江戸前玉子焼き)
L’Edomae-style tamago : une délicatesse raffinée
Dans les restaurants de sushi haut de gamme de Tokyo, on peut découvrir une variante surprenante du tamago traditionnel : l’Edomae-style tamago.
Cette spécialité, qui s’apparente visuellement à un dessert sucré cuit au four, se distingue par sa texture unique, à la fois spongieuse et rebondissante.
Ce caractère particulier est le résultat d’une recette innovante qui incorpore de la pâte de crevettes et de l’igname râpée au mélange d’œufs classique.
L’appellation « Edomae-style » fait référence à une méthode de préparation ancestrale, originaire de l’ancien Tokyo (autrefois nommé Edo), qui met l’accent sur la fraîcheur des ingrédients locaux et des techniques de préparation minutieuses.
Cette approche culinaire, développée au début du 19e siècle pour répondre aux défis de conservation des aliments, s’est depuis imposée comme l’une des formes les plus raffinées et respectées de la cuisine japonaise.
L’Edomae-style tamago incarne ainsi parfaitement cet héritage culinaire riche, alliant tradition et innovation dans un seul plat.
Ingrédients dont vous aurez besoin pour le Dashimaki Tamago
Pour préparer un délicieux Dashimaki Tamago, vous aurez besoin de quelques ingrédients essentiels qui capturent l’essence de la cuisine japonaise.
Au cœur de cette recette se trouvent bien sûr les œufs frais, qui formeront la base moelleuse de l’omelette. Essayez de les avoir à température ambiante.
Le dashi, ce bouillon japonais riche en umami, est l’élément clé qui distingue le Dashimaki Tamago du tamagoyaki classique.
Vous aurez également besoin de mirin, un vin de riz doux qui apporte une subtile note sucrée, et de sauce soja pour l’équilibre salé.
Une pincée de sel fin peut être ajoutée pour rehausser les saveurs. Certaines recettes incluent un peu de sucre pour accentuer la douceur, mais cela reste facultatif. Pour la cuisson, de l’huile végétale neutre sera nécessaire.
Enfin, bien que ce ne soit pas un ingrédient à proprement parler, une poêle rectangulaire spéciale appelée makiyakinabe est fortement recommandée pour obtenir la forme caractéristique du Dashimaki Tamago, bien qu’une poêle classique puisse être utilisée en dépannage.
Comment préparer un dashimaki tamago à la maison ?
Préparer un dashimaki tamago authentique à la maison est un art qui demande certes de la patience et de la précision, mais ne vous inquiétez pas, elle est accessible à tous les passionnés de cuisine japonaise avec un peu de pratique.
Commencez par battre délicatement des œufs frais avec du dashi, du mirin et une pincée de sel, en veillant à ne pas incorporer trop d’air dans le mélange. Utilisez des baguettes et banissez fouets et fourchettes, le mélange doit être mélangé grossièrement et ne dois pas avoir de bulles d’air.
Chauffez une poêle rectangulaire (makiyakinabe) à feu moyen et huilez-la légèrement. Versez une fine couche d’œuf et laissez-la cuire jusqu’à ce qu’elle soit presque prise, puis roulez-la délicatement vers vous à l’aide de baguettes ou d’une d’une spatule large. Pas de panique, la première couche a toujours une tête horrible, sa forme sera ajustée avec les couches suivantes.
Huilez au dessus, poussez le rouleau vers le fond de la poêle (son point de départ comme nous avons vu plus haut), ajoutez une nouvelle couche d’œuf et répétez le processus.
La clé réside dans la constance : chaque couche doit être fine et uniformément cuite. Continuez ainsi jusqu’à épuisement du mélange, en veillant à maintenir si possible une forme rectangulaire. Une fois terminé, laissez reposer enroulé dans un tapis à sushi quelques minutes avant de couper en tranches. Le résultat devrait être une omelette moelleuse aux multiples couches, offrant un équilibre parfait entre la saveur umami du dashi et la douceur des œufs.
Quelles sont les étapes clés pour réussir un dashimaki tamago ?
Maintenant que nous avons vu comment le préparer, passons aux points sur lesquels vous devez être particulièrement exigent.
La réussite d’un dashimaki tamago repose sur plusieurs étapes clés qui, maîtrisées, vous permettront d’obtenir une omelette japonaise parfaite.
1. Tout commence par la préparation minutieuse du mélange d’œufs : battez-les délicatement avec le dashi, le mirin et une pincée de sel, en évitant de créer trop de bulles d’air.
2. La température de la poêle est cruciale : maintenez un feu moyen-doux pour une cuisson uniforme.
3. L’art du roulage est essentiel : commencez toujours du même côté de la poêle et roulez chaque couche avec précision et douceur.
4. La constance est votre alliée : assurez-vous que chaque couche soit fine et cuite de manière homogène avant de la rouler. N’oubliez pas de huiler légèrement la poêle entre chaque couche pour faciliter le roulage.
5. La patience est de mise : prenez votre temps pour construire les couches successives, c’est ce qui donnera à votre dashimaki tamago sa texture caractéristique.
6. Enfin, le repos est important : laissez l’omelette reposer quelques minutes avant de la couper, ce qui permettra aux saveurs de se développer pleinement et à la texture de se stabiliser.
En suivant ces étapes avec soin, vous obtiendrez un dashimaki tamago moelleux, savoureux et visuellement attrayant, digne des meilleures tables japonaises.
Quels sont les meilleurs accompagnements pour le dashimaki tamago ?
Voici quelques suggestions d’accompagnements qui se marient bien avec le dashimaki tamago :
– Du riz blanc japonais : Le dashimaki tamago est souvent servi avec un bol de riz blanc, c’est un accompagnement classique et équilibré.
– Daikon râpé : Souvent servi comme garniture, le daikon râpé apporte une fraîcheur et une légèreté qui équilibrent la richesse de l’omelette
– Sauce soja : Un peu de sauce soja peut être ajoutée pour rehausser les saveurs umami du plat
– Saumon grillé : Un filet de saumon grillé ajoute une protéine supplémentaire et une saveur complémentaire
– Des légumes marinés (tsukemono) : Des pickles japonais comme le daikon mariné ou les concombres au vinaigre apportent une touche acidulée qui contraste bien avec la douceur de l’omelette.
– Une soupe miso : Une petite soupe miso légère complète parfaitement le repas et apporte de l’umami.
– Des légumes verts sautés : Des épinards ou des haricots verts rapidement sautés à la poêle ajoutent de la fraîcheur.
– Du natto : Pour les amateurs, le natto (soja fermenté) est un accompagnement traditionnel qui se marie bien avec le dashimaki tamago.
– Une salade de wakame : Une petite salade d’algues wakame apporte une touche iodée rafraîchissante.
– Du gingembre mariné (gari) : Quelques tranches de gingembre mariné permettent de rafraîchir le palais entre les bouchées.
– Nori (algues séchées) : Des bandes de nori peuvent être utilisées pour enrouler des morceaux de dashimaki tamago, ajoutant une saveur marine et une texture croustillante.
L’idée est de créer un repas équilibré en associant des saveurs et des textures complémentaires typique d’un petit-déjeuner ou d’un déjeuner japonais traditionnel.
Le dashimaki tamago étant déjà riche et savoureux, des accompagnements légers et frais sont souvent privilégiés.
Il peut également être servi seul comme partie d’un bento (boîte-repas japonaise) ou comme plat d’accompagnement dans un repas plus élaboré comme nous allons le voir ci-dessous.
Le Dashimaki dans la Cuisine Japonaise
Le dashimaki tamago joue un rôle important dans la cuisine japonaise, en particulier dans les bento, les sushis et les repas quotidiens:
Un incontournable des bento …
Le dashimaki tamago est un élément très populaire dans les bento, ces boîtes-repas japonaises. Son aspect coloré et sa texture moelleuse en font un ingrédient apprécié qui apporte de la variété visuelle et gustative. L’omelette est généralement coupée en tranches et disposée soigneusement dans le bento, ajoutant une touche de jaune vif qui contraste avec les autres aliments.
… et des sushiya !
On retrouve fréquemment le dashimaki tamago en garniture de sushi. Il est souvent utilisé pour faire le tamago nigiri, un type de sushi où une tranche d’omelette est posée sur une boule de riz vinaigré. Sa saveur légèrement sucrée et sa texture fondante se marient bien avec le riz et apportent une alternative aux garnitures de poisson cru.
Sa place dans les repas quotidiens
Au-delà des bento et des sushis, le dashimaki tamago occupe une place importante dans l’alimentation quotidienne japonaise :
– Il est souvent servi comme plat d’accompagnement lors des repas, chaud ou froid.
– On le retrouve fréquemment au petit-déjeuner, en accompagnement du riz et de la soupe miso.
– C’est un aliment apprécié pour sa polyvalence – il peut être consommé à toute heure de la journée.
Le dashimaki tamago est considéré comme un plat de base de la cuisine japonaise, apprécié pour sa saveur délicate mêlant le sucré et le salé, ainsi que pour sa texture moelleuse due à l’ajout de dashi.
Sa préparation demande une certaine technique, ce qui en fait un plat emblématique de la cuisine japonaise, à la fois simple dans ses ingrédients mais raffiné dans sa réalisation.
Types de poêles rectangulaires (makiyakinabe)
poêle tamagoyaki antiadhésive
Cette option se distingue par sa convivialité, particulièrement appréciée des novices en cuisine japonaise.
Sa surface empêche l’adhérence des œufs, facilitant grandement la préparation. L’entretien est un jeu d’enfant, nécessitant peu d’effort pour maintenir sa propreté.
Sa structure légère permet une manipulation aisée lors du roulage de l’omelette. Généralement plus accessible financièrement, elle représente un excellent choix pour débuter.
De plus, elle est immédiatement utilisable, ne nécessitant aucune préparation préalable.
poêle tamagoyaki en cuivre
Reconnue pour ses qualités thermiques exceptionnelles, cette poêle assure une répartition homogène de la chaleur, cruciale pour une cuisson optimale.
Elle offre une maîtrise précise de la température, permettant d’ajuster finement la cuisson.
Avec un entretien approprié, cet ustensile peut vous accompagner pendant de nombreuses années. Son apparence raffinée apporte une touche professionnelle à votre cuisine.
Bien entretenue, elle développe naturellement des propriétés antiadhésives.
poêle tamagoyaki en acier au carbone
Cette poêle se caractérise par sa capacité à maintenir une chaleur stable, idéale pour une cuisson uniforme.
Au fil du temps, elle se pare d’une patine qui améliore ses propriétés antiadhésives. Robuste, elle peut traverser les années avec un entretien adéquat.
Sa polyvalence lui permet d’être utilisée sur tous types de cuisinières. Elle offre un excellent compromis entre qualité et prix, la positionnant comme un choix judicieux pour les cuisiniers réguliers.
poêle tamagoyaki en fonte
Réputée pour sa capacité thermique remarquable, cette poêle garantit une cuisson homogène du tamagoyaki.
Sa robustesse exceptionnelle en fait un héritage culinaire potentiel. L’utilisation régulière développe une surface antiadhésive naturelle.
Sa versatilité permet son utilisation sur toutes les sources de chaleur, y compris au four. Un avantage supplémentaire est son apport potentiel en fer lors de la cuisson, bénéfique pour la santé.
Les poêles à tamagoyaki en aluminium
L’aluminium se distingue par sa conductivité thermique remarquable, assurant une montée en température rapide et uniforme.
Sa légèreté facilite grandement la manipulation lors de la préparation du tamagoyaki. Souvent dotées d’un revêtement antiadhésif moderne, ces poêles simplifient le démoulage de l’omelette.
Certains modèles s’adaptent à tous types de plaques de cuisson. Leur prix compétitif les rend accessibles à un large public.
L’entretien est généralement simple, bien qu’un lavage à la main soit recommandé.
Certains fabricants proposent des manches ergonomiques pour un confort d’utilisation accru, et des revêtements sans PFOA pour les consommateurs soucieux de leur santé.
FAQ sur le Dashimaki Tamago
1. Quelle est la différence entre dashimaki et tamagoyaki ?
Le dashimaki contient du dashi (bouillon japonais), ce qui le rend plus moelleux et légèrement plus humide que le tamagoyaki classique. Sa couleur est également plus claire en raison de la dilution des œufs par le dashi.
2. Quel ingrédient clé donne au dashimaki sa texture moelleuse caractéristique ?
Le dashi est l’ingrédient clé qui confère au dashimaki sa texture moelleuse si appréciée.
3. Dans quels types de repas retrouve-t-on généralement le dashimaki ?
On retrouve souvent le dashimaki dans les petits-déjeuners japonais, les bentos, les izakayas, et comme garniture pour les sushis.
4. Est-il nécessaire d’utiliser une poêle rectangulaire pour préparer le dashimaki ?
Bien qu’une poêle rectangulaire (makiyakinabe) soit traditionnellement utilisée pour obtenir une forme élégante, il est tout à fait possible de préparer le dashimaki dans une poêle ronde classique. Néanmoins, il sera bien plus difficile d’obtenir les tranches rectangulaires caractéristiques.
5. Quelles sont les principales astuces pour réussir la préparation du dashimaki ?
Les principales astuces incluent : maintenir une température de cuisson moyenne-basse, rouler délicatement chaque couche, huiler légèrement la poêle entre chaque couche, et laisser reposer l’omelette avant de la couper.
6. Quels sont les ingrédients de base pour la version classique du dashimaki ?
Les ingrédients de base sont : œufs, dashi, mirin, sauce soja, et parfois un peu de sucre.
7. Quelles variantes ou ajouts peut-on faire à la recette de base du dashimaki ?
On peut ajouter des ingrédients comme du fromage, des crevettes hachées, des herbes, ou même du nori (algue séchée) pour créer des variantes intéressantes.
8. Pourquoi cette recette est-elle considérée comme de difficulté « moyenne » ?
La technique de roulage des couches successives et le contrôle de la température de cuisson requièrent une certaine pratique, ce qui justifie le niveau de difficulté « moyen ».
9. Comment le dashimaki est-il généralement servi ou accompagné ?
Le dashimaki est souvent servi en tranches, accompagné de radis blanc râpé (daikon) et de sauce soja. Il peut faire partie d’un repas traditionnel japonais ou être inclus dans un bento.
10. Quelle est l’origine du nom « dashimaki » et que signifie-t-il littéralement ?
« Dashimaki » signifie littéralement « rouleau au dashi ». « Dashi » fait référence au bouillon japonais utilisé dans la recette, et « maki » signifie « roulé » ou « enroulé ».
La liste de courses
(À venir)
La recette
Tamagoyaki (omelette roulée japonaise) — Dashimaki Tamago
Ingrédients
- 3 gros œufs
- 3 c. à soupe de dashi
- 2 c. à café de sucre
- 1 c. à café de sauce soja
- 1 c. à café de mirin
- 2 pincées de sel
- 2 c. à soupe d'huile neutre pour la cuisson
Instructions
Préparation
- Dans un bol, fouettez délicatement les œufs jusqu'à obtenir un mélange homogène.
- Dans un autre récipient, combinez le dashi, le sucre, la sauce soja, le mirin et le sel. Mélangez soigneusement.
- Incorporez doucement le mélange d'assaisonnement aux œufs battus. Remuez avec précaution avec des baguettes collées au fond du bol pour éviter la formation de bulles.
La cuisson
- Faites chauffer une poêle rectangulaire à tamagoyaki à feu moyen. Huilez légèrement à l'aide d'un papier absorbant.
- Versez une fine couche de préparation dans la poêle chaude. Inclinez la poêle pour répartir uniformément. Ne paniquez pas ! la première couche est toujours très moche, c'est normal. La forme sera ajustée avec les couches suivantes.
- Lorsque le dessous est cuit mais que le dessus est encore légèrement humide, commencez à rouler l'omelette délicatement d'un côté à l'autre de la poêle à l'aide de baguettes ou d'une spatule.
- Poussez le rouleau d'omelette sur le côté de la poêle d'où vous avez débuté. Huiler à nouveau la surface libre et verser une autre fine couche de préparation.
- Soulevez délicatement le bord du rouleau pour permettre à la nouvelle couche de s'insérer en dessous. Répétez l'opération de cuisson et de roulage.
- Poursuivez le processus jusqu'à épuisement du mélange d'œufs.
Le dressage
- Une fois la cuisson terminée, retirez le dashimaki tamago de la poêle et déposez-le sur un tapis de bambou (makisu).
- Façonner l'omelette en la roulant dans le tapis pour lui donner une forme rectangulaire parfaite. Ne pressez pas trop, ce n'est pas necessaire, surtout que l'omelette chaude est encore très fragile. Laisser reposer quelques minutes avant de les couper en petits tronçons et de servir.
- Bon appetit !
Bon appétit !
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Merci d’avance ! 🙂
Bonjour et merci pour ces recettes! J’ai fait ma première tamagoyaki qui était très réussie! J’ai hâte d’essayer les autres recettes!
Merci beaucoup Danielle 🙂 Bon weekend!